Comme M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir, on peut relever que les éditeurs de solutions de gestion de l’enfance traditionnels font du CRM « sans le savoir »
En effet, les solutions CRM ont pour vocation d’assurer la relation entre une entreprise et ses clients et ont développé les mécanismes d’échanges, de traçabilité, de vision globale de l’ensemble des interactions. Et, dans cette nouvelle ère de dématérialisation, c’est précisément une bonne part des fonctionnalités dont les acteurs publics ont besoin pour bien gérer leur relation avec leur usagers « consommateurs des services » qu’ils offrent sur leurs portails de services en ligne.
Appuyer notre outil sur un CRM, c’est non seulement bénéficier de ces fonctionnalités intrinsèques, mais c’est également permettre une évolutivité du socle technique de la plateforme en fonction de l’évolution des usages, dont on connaît la rapidité dans le monde web.
En résumé le CRM offre une multitude de fonctionnalités utiles pour l’enfance, sans faire supporter ce développement à Lanteas en termes de charges ni à l’acteur public en termes de coût, avec à la clé, une bien meilleure évolutivité.